Vaccin Covid : pour ou contre ? choisissons en toute connaissance…

Selon les dernières annonces de notre gouvernement, nous avons « le choix » entre nous faire vacciner pour pouvoir continuer à vivre normalement ou rester chez nous sans plus aucun de nos droits à la liberté de circuler évoquée dans les droits universels de l’homme : L’article 13 de la Déclaration universelle des droits de l’homme établit deux droits : « Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un État » et « toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays ».

Depuis un an, ces simples droits nous ont été suspendus sans que nous ne réagissions pour la simple et bonne raison que la plupart des concitoyens « terriens » ont conscience que cela est nécessaire.

Cependant, nous étions toujours dans des actes de prévention non invasifs de notre corps et de notre santé.

A l’heure actuelle, je ne peux que constater que les études ne sont pas suffisantes pour connaitre les retombées sur la santé de tous d’ici quelques années.

Actuellement, les études démontrent que les vaccins sont efficaces principalement sur les personnes ayant un risque de développer des formes graves. Paradoxalement, contrairement à ce que nous souhaitons nous faire croire, à aucun moment une personne vaccinée protège les autres de toute contamination ; bien au contraire, les « vaccinés » peuvent être des porteurs sains et donc contaminer d’autres personnes sans le savoir. D’autant que je vois de plus en plus de personnes qui laissent tomber les gestes barrières sous prétexte qu’elles sont vaccinées.

Ne constatons-nous pas une recrudescence de cas depuis le déconfinement et l’autorisation de ne plus porter le masque ?

Les vaccins diminuent les formes graves mais pas le nombre de cas de contaminations.

En début d’année, l’Etat Français, ainsi que les autres pays partout dans le monde ont clairement signifié que Israël serait le pays référent quant à l’efficacité des vaccins puisque plus de 55% de la population ont reçu deux doses, favorisant une chute du nombre de cas et la levée de restrictions.

Pourtant depuis le 21 juin, Israël enregistre plus de 100 nouveaux cas par jour, après n’en avoir recensé quotidiennement qu’une poignée pendant des semaines ; ce chiffre augmente et est proche des 300 nouveaux contaminés identifiés par jour. Selon des chiffres officiels, environ la moitié des nouveaux cas sont recensés parmi des enfants et l’autre moitié chez des adultes pour la plupart vaccinés (masques ?).

Ce rebond est clairement imputé au très contagieux variant Delta, devenu “la souche principale” du virus en Israël, conduisant à “un changement considérable dans la dynamique de transmission”, a déclaré Ran Balicer, également directeur des innovations chez Clalit, principal assureur santé israélien. “Il existe un signe préliminaire d’une efficacité moindre du vaccin face aux cas modérés” liés à ce variant, par rapport au variant Alpha, a-t-il ajouté. “Mais il est trop tôt et difficile de déterminer à quel point.”

Mais cela s’explique aussi : durant les 20 ans de carrière en officine, j’ai dû expliquer chaque année pourquoi il était nécessaire de renouveler l’injection du vaccin contre la grippe saisonnière. Selon le site vaccination-info-service.fr du Ministère de la Santé : la vaccination contre les virus grippaux saisonniers concerne les personnes à risque de complications, notamment les personnes âgées, celles atteintes de certaines maladies chroniques, les femmes enceintes et les personnes obèses. Elle permet à la fois :

  • de réduire le risque d’être contaminé par la grippe ;
  • de réduire le risque de faire des formes graves de la grippe.

(…)

Les souches de virus de la grippe en circulation ne sont pas les mêmes d’une année à l’autre et la durée de protection du vaccin peut s’estomper après quelques mois. C’est pourquoi il faut se faire vacciner chaque année.

Et on voudrait nous faire croire que les vaccins anti-covid réalisés à partir de la souche Alpha sera efficace sur tous les variants existants ?

Et quid des expériences passées, notamment de l’épidémie de grippe H1N1 (qui est, je vous le rappelle, un coronavirus lui aussi) de 2009 où moins de 6 millions de personnes ont été vaccinées et où nous n’avons pas été confinés mais juste poussés à respecter les gestes barrières. Nous avons réussi à combattre cette épidémie, comme chaque année nous arrivons à combattre les grippes saisonnières et les épidémies de gastro, qui elles aussi font chaque année de nombreux morts

Au 8 juillet 27 millions de français ont reçu les 2 doses du vaccin covid et pourtant l’épidémie continue à progresser ; pourtant presque 5 fois plus de personnes sont vaccinées pour ce virus versus celui de la grippe H1N1 (6 millions).

De plus, l’Etat souhaite nous imposer une vaccination alors que non seulement tous les vaccins n’ont pas obtenu une AMM standard (AMM : Autorisation de Mise sur le Marché, obligatoire pour toute commercialisation d’un médicament quel qu’il soit) mais une AMM conditionnelle.

Une autorisation de mise sur le marché conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les données d’efficacité et de sécurité disponibles sont positives et que les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent à l’absence de recul important. Une AMM conditionnelle peut être envisagée dans des situations d’urgence en réponse à des menaces pour la santé publique à l’image de la Covid-19. Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours, dans des délais fixés par l’EMA pour confirmer le rapport bénéfices / risques positif. Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.

Cela signifie que les vaccins sont toujours à l’étude et qu’il subsiste de nombreuses questions quant à l’efficacité et à l’innocuité des vaccins.

Selon le site vie-publique-France

Quelles sont les quatre phases d’un essai clinique ?

Les premiers essais cliniques sur l’homme débutent après l’obtention de résultats satisfaisants lors de la phase pré-clinique. Ils sont strictement encadrés par la loi et ne peuvent démarrer qu’après avis favorable du comité de protection des personnes et autorisation de l’ANSM. Les quatre phases d’un essai sont les suivantes :

  • Phase I : essais effectués sur un petit groupe de volontaires non malades (vingtaine) afin de vérifier les doses tolérables du médicament chez l’homme et son devenir dans l’organisme ;
  • Phase II : essais effectués sur quelques centaines de participants atteints de la maladie ciblée. La posologie optimale du produit est déterminée et les effets secondaires observés ;
  • Phase III : essais effectués sur une grande population de volontaires atteints de la maladie ciblée (jusqu’à plusieurs milliers), sur plusieurs sites. Il s’agit de comparer l’efficacité du médicament en développement à celle d’un traitement déjà existant et/ou à celle d’un placebo, c’est-à-dire un traitement sans activité pharmacologique. Cette phase, qui dure plusieurs années, vise à répondre à la question du bénéfice du médicament pour le patient ainsi qu’à identifier les risques potentiels. On parle de rapport bénéfice/risque. En parallèle, se déroule une phase de développement industriel qui détermine le mode d’administration et conditionnement du principe actif. C’est à l’issue de la phase III que le dossier AMM constitué peut être soumis à l’ANSM ou aux autorités européennes de santé  ;
  • Phase IV : essais en phase de surveillance effectués à grande échelle et sur le long terme, après l’obtention de l’AMM. On parle de pharmacovigilance.

L’autorisation de mise sur le marché des médicaments en 9 questions | Vie publique.fr (vie-publique.fr)

Nous en sommes à la phase 3 et il est bien spécifié que normalement les tests sont effectués sur une population VOLONTAIRE et sur PLUSIEURS ANNEES ; donc il n’est pas légal dans cette phase de nous imposer la vaccination et il est donc légitime de pouvoir refuser…

De plus, selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé)

  • La Constitution de l’OMS établit que «la possession du meilleur état de santé qu’il est capable d’atteindre constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humain».
  • Le droit à la santé comprend l’accès, en temps utile, à des soins de santé acceptables, d’une qualité satisfaisante et d’un coût abordable.
  • Pourtant, environ 100 millions de personnes dans le monde passent chaque année sous le seuil de pauvreté en raison de leurs dépenses de santé.
  • Les groupes vulnérables et en marge de la société ont tendance à supporter une part beaucoup trop élevée des problèmes de santé.
  • La couverture sanitaire universelle est un moyen de promouvoir le droit à la santé.
  • Une autre caractéristique des approches fondées sur les droits est la participation significative. La participation signifie que les parties prenantes nationales – y compris les acteurs non étatiques tels que les organisations non gouvernementales – participent de manière significative à toutes les phases de la programmation : évaluation, analyse, planification, mise en œuvre, suivi et évaluation.

Toujours selon l’OMS

Le «droit de jouir du meilleur état de santé possible» implique que soient réunis un ensemble de critères sociaux favorables à l’état de santé de tous, notamment la disponibilité de services de santé, des conditions de travail sans risque, des logements appropriés et des aliments nutritifs. La réalisation du droit à la santé est étroitement liée à la réalisation des autres droits de l’homme, notamment le droit à l’alimentation, au logement, au travail, à l’éducation, à la non-discrimination, à l’accès à l’information et à la participation.

Le droit à la santé suppose à la fois des libertés et des droits.

  • Les libertés comprennent le droit de l’être humain de contrôler sa propre santé et son propre corps (par exemple les droits sexuels et génésiques), ainsi que le droit à l’intégrité (par exemple le droit de ne pas être soumis à la torture et de ne pas être soumis sans son consentement à un traitement ou une expérience médicale).
  • Les droits comprennent le droit d’accès à un système de protection de la santé qui garantisse à chacun, sur un pied d’égalité, la possibilité de jouir du meilleur état de santé possible
  • Responsabilisation: Les États et les autres entités responsables doivent rendre compte de la mesure dans laquelle ils respectent les droits de l’homme.
  • Universalité: Les droits de l’homme sont universels et inaliénables. Ils doivent être respectés pour chaque personne, partout dans le monde.

Selon la constitution des droits de l’homme et du citoyen de 1789

Art.4 La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

Vu que le Gouvernement et le Ministère de la Santé tendent à nous dire que les personnes vaccinées sont protégées, il semble entendu que les personnes non vaccinées ne peuvent contaminer les personnes vaccinées et donc ne nuisent pas à autrui.

Art. 5.  La Loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n’est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.  

Il n’y a, à l’heure actuelle, aucune loi nous imposant de se faire vacciner

Selon la Constitution du 27 octobre 1946

  • 1. Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. Il réaffirme solennellement les droits et libertés de l’homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de 1789 et les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République.
  • Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

Selon la Haute Autorité de Santé et le Code de Santé Publique

Droit à l’accès aux soins et au choix du médecin

  • le droit à la protection de sa santé : garantie de l’égal accès de chacun aux soins nécessités par son état de santé, toute discrimination étant proscrite (art. L 1110-3 du CSP) ;
  • le droit de bénéficier des soins les plus appropriés et des thérapeutiques les plus efficaces et garantissant sa sécurité sanitaire (art. L 1110-5 du CSP) ;
  • le droit au choix du médecin ou de l’établissement de santé (art. L 1110-8 du CSP) ;
  • le droit à la continuité des soins.

Droit à l’information

  • le droit à l’information sur son état de santé, comme au respect de sa volonté de ne pas être informée sur son état de santé (art. L 1111-2 du CSP) ;
  • le droit à une information de qualité : elle doit être accessible et loyale ;
  • le droit à l’accès direct à son dossier médical (art. L 1111-7 du CSP) ;

Droit à participer à la décision médicale ou consentement aux soins

  • le droit à participer activement aux décisions médicales qui le concernent ou décision médicale partagée (art. L 1111-4 du CSP) ;
  • le droit de refuser un traitement ou un acte médical (art. L 1111-4 du CSP) ;

4. Droit au respect de la personne soignée

Je ne reprendrais pas point par point toutes les incohérences à relever entre le discours de Mr le Président Macron et tous les différents textes de lois qui régissent notre Pays. Donc à moins qu’il ne réforme toutes ces lois, il n’est pas dans la capacité de mettre en application ses désidératas.  

Cet article est une information basée sur des articles, des chiffres et des études toutes tirées des sites officiels de la République Française. Il n’a pas été rédigé pour vous conseiller de ne pas vous faire vacciner mais uniquement pour que chacun, de façon démocratique, puisse prendre une décision en toute connaissance de cause.

Souffrant d’une maladie auto-immune, de part mon ancien métier de préparatrice en pharmacie et de mon métier actuel de naturopathe, je suis sensible à la protection de la santé de chacun (y compris la mienne et celle de mes proches) qui passe par les gestes barrières, la responsabilité de chacun et l’immunité par une bonne hygiène de vie, un équilibre émotionnel et tous les moyens naturels mis à notre disposition et n’interférant pas à l’intégrité de notre organisme et de nos capacités naturelles à nous défendre !

Je me base sur le fait que tout au long de ma vie professionnelle en officine, sans me faire vacciner pour ces pathologies, et bien que très exposée, je n’ai jamais eu la grippe ou la gastro, pourtant très contagieux, certainement parce que j’ai respecté mon corps ainsi que les gestes barrières…

Chacun doit choisir s’il souhaite se faire vacciner en pesant le bénéfice risque sur sa santé sans écouter les avis des uns et des autres. N’hésiter pas à consulter les études sérieuses proposées notamment sur le site de l’ARS.

Recevez les newsletter chaque mois directement dans votre boîte de réception.

Laisser un commentaire